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PLUS CA VA, PLUS C'EST CLAIR

2 novembre 2010

FREMDHEIT VERTRAUT(ETRANGE RENCONTRE)

FREMDHEIT VERTRAUT

(expression allemande signifiant en français : ETRANGE RENCONTRE)
Ecrit issu d’une rencontre inattendue
Selon Freud, l’inquiétante étrangeté, le sentiment du déjà vu, le bizarre.


AUX PASSAGES
…..Rheilac, Brady

De portes bleues
……………………………………………en portes bleues

Quel code, quel numéro ?

Paris, Tokyo, Londres, New-York, Amsterdam,
Berlin, Zurich………………….Singapour
Partout, toujours, séparés et ensemble à la fois.

DES PORTES Saint-Martin, Saint-Denis et tutti quanti

DES HALLES
DES RUES ET DES FAUX-BOURGS

« Le bizarre, quel bazar, Baltazar
Et que çà tourne, virevolte et danse, autour ….
Avec tous mes remerciments à :
L’ensemble de ma famille, mes amis, pour leur soutien et qui m’ont donné l’élan, le courage de poursuivre dans des périodes de doutes et questionnement……
Nous avons ensemble su faire face et dépasser certains points de confrontations, et nous avançons.

SAVS, Fondation Gustave Beauvois
SNC, et Monsieur De la Rochefoucault
Allociné
Unifrance
L’AFP
L’ensemble des Ministères ainsi que la Ville de Paris qui ont contribué à promouvoir ce projet.


La musique, et Chopin au showping
Tous à bord, babord, tribord, çà bascule comme en bateau,
A tous les « malades » de stylos, de piano, de roller, de tricot, de foot, de jeu, d’intrigues

The patient's disease is welcome winner

Merci à Molière et à ses assiettes de Comédie Française, sans lesquelles je n’aurai jamais avalé une miette d’écriture.
Molière qui fredonnait déjà dans une enfance curieuse, « il est plus facile de faire pleurer les gens que de les faire rire »
Ce à quoi je répondais à mon assiette de petits princes en miettes : je n’avale pas grand chose pour rire à gorge déployer.
Tout de même ils ont pu tous hurler, claquer les portes, m’enfermer dans ma chambre,
Malgré tout je sais qu’ils en ont ri
Et c’est la l’Essentiel.

Trop de clowns autour de ses    
tables
… rondes ? ? ? ? ? ? ? ? ?

Pas toutes.

Merci

……………..Pianissimo, pour les voisins.
Sinon jouez au sourd muet, aux aveugles ou mettez des boules Quilles………
Où aller courir pour une grande plonger dans l’eau, à défaut sous la douche !

Qu’importe, tous sur l’Eau
Allô ?
Sans Ô.

A vos yeux ouverts. »

C.M

« Comment écrire sur le handicap, quand il s'agit d'une expérience qui vous restera nécessairement et définitivement étrangère, du moins je l'espère. »
M.F

« Certes cela m'est étranger, mais le diagnostic de la médecine française a été posée sur moi dans cette case "travailleur handicapée", avec dossier à la MDPH.
Hélas, les lois le droit et la médecine, trop de règles qui déroutent...
Aussi, la réponse est dans votre question : le handicap et l'étrange sont deux entités qui posent un problème d'intégration et de compréhension dans le tissu social, la mape monde humaine.
Mais rien de nouveau, à ce compte là, chacun a ses mots et ses maux, tout est problème de langage et de compréhension. Comme pour Claudel dans sa pièce de théâtre Le Malentendu. »

J’aime cette phrase de Mathieu Almarich dans le film "Les Herbes Folles", : "l'Art n'a jamais tué personne au contraire çà aide à vivre". Donc écrire c'est aussi vivre, tout comme danser, marcher... L'essentiel est d'être vivant, créateur à sa façon, sans violence surtout.
Et je prie pour que tous ces mots que je vous adresse ne soient pas qu'écriture mais raison de vivre. »

 

Prenons pour exemple «la  bipolarité » (autrefois appelée magnaco-dépression), diagnostiquée comme un trouble psychique de l’humeur, celui-ci n’est-il pas le lot de chacun. ? L’humeur, qui étymologiquement vient de « humus », en latin , la Terre, l’odeur de l’herbe, le sol humain, la racine de l’Etre, comme celle de l’arbre.
Est-ce maladie une rose qui a des ronces ou est-ce fleur à part, différente ?
Chacun n’a-t-il pas ses habitudes, l’humain n’a- t-il pas le droit de choisir sa vie, son mode d’Etre.



Quand A. me dit  ceci : "Je resterai à ton écoute et présente, C., mais je ne te caresserai jamais « dans le sens du poil ». Sinon tu ne guériras jamais.".

La question me vient :est-ce violence? Est-ce raison ? Est-ce  tendresse?

CM

« Terribles propos d’amour ! ! ! ! » M.F

«  Non pas terrible mais un peu singulier, c'est vrai, c'est elle. » On ne change jamais l’autre, on le prend tel qu’il ou elle est, à chacun je crois de trouver la juste distance et c’est là le point plus difficile à trouver, la juste place, le ton de voie ni trop fort ni trop faible. Comme en piano, il faut trouver un accord entre les notes, pour faire de nous une musique harmonieuse sur laquelle pourront danser nos pas. »C.M

« Et votre éditeur, MlleC. », SAVS

« Au bouquin fleuri… », SAVS

« Au bouc ? ………hein ? Un ou Deux……… »C.M

« Qui fleurit », SAVS

« Qui ? ? ? ?  »

Et quand  les acteurs voguent à Cannes,

Les enfants jouent à la Marelle

Et dansent dans les vitrines de leurs Designer de Top en Vogue,

Sur les ballons d’Air France,

D’où s’échappe le vent de rêve volant.




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2 novembre 2010

L'HOMME DE CHEVET

Critique du film «  l’Homme de Chevet »
Par Claire MARIN

20/10/2010
Date de sortie cinéma : 18 novembre 2009
Film déjà disponible en DVD depuis le : 7 avril 2010
Réalisé par Alain Monne
Avec Sophie Marceau, Christophe Lambert, Margarita Rosa De Francisco….
Long-métrage français . Genre : Drame , Romance
Durée : 01h33min Année de production : 2008
Distributeur : Rezo Films
Synopsis : Carthagène, Colombie. Léo, ancien champion de boxe, s'autodétruit dans l'alcool. Son ami Jaïro l'envoie travailler au service de Muriel, jeune femme tétraplégique. Peu à peu, une histoire d'amour passionnée se noue entre eux...

CRITIQUE
Ce film aborde le thème de la rencontre  entre un homme, Léo, dépendant de l’alcool qui progressivement saborde sa vie et une jeune femme, Muriel, tétraplégique, indépendante, passionnée par la littérature et l’art.
Léo est engagé comme auxiliaire de vie auprès de Muriel afin de lui donner les soins quotidiens dans sa vie courante.
Si Léo apporte son soutien à Muriel sur un plan matériel, en lui préparant les repas, en l’aidant à manger, en l’emmenant se promener dans son fauteuil roulant, Muriel, elle, lui montre une autre façon de vivre. A son insu, elle lui apprend à porter un nouveau regard sur la vie.
A son handicap physique Muriel oppose,  avec vivacité et dynamisme, un esprit radicalement épris de liberté dans sa façon de penser. De son visage émane une grâce incontestable, une forme d’insoumission aux tourments de la vie. Elle engage tout son être, atteint de tétraplégie, dans un mouvement perpétuel de renaissance, défiant chaque jour la maladie grâce à son goût de vivre.
Muriel se montre exigeante dans son appréhension du sens de l’humain. Elle témoigne une force, un dépassement du mal, une  capacité de résilience,  et Léo prend acte de cette leçon de vie. Peu à peu, il  délaisse sa tendance à la boisson, pour s’ouvrir à Muriel qui  parvient à faire tomber en lui le mur qu’il avait dressé contre lui, contre autrui.
Entre eux s’installe une complicité fraternelle, qui va donner naissance  à une passion.
Ce film est le récit d’une aventure, celle de l’humain aux prises avec ses souffrances. Il est un pari que l’issue est possible, et que, oui,  la renaissance advient toujours pour ceux et celles qui la quêtent.
Claire MARIN.

1 août 2010

PROPRIETE INTELLECTUELLE

Tous les textes, photos, images et montages photos sur ce blog sont réalisés par et pour PLUSCESTCLAIR et sont la propriété exclusive de Claire MARIN LAUDENBACH.

Toute reproduction, même partielle, sans son accord est interdite et passible de poursuite.
Si vous désirez utiliser une de mes photos, contactez moi sur NOUVELLE ADRESSE MAIL

20 juillet 2010

Improse

                                       

                     A.  M.  C


                            MATHIEU
                                                       

                                                    Al Mare.  

LARGUER LES AMARRES

                                                                                                     HIC

                                                            AIME

                                                                                         M............

                            A…..

                                                A. comme Anna.

                                                                                    Ô Anna.

                Par delà les cieux.

                                                                    De fil en cil.

                                                                                                        Ce sera une fille.

L’enfant d’un film.

                                                    Anna, la révolutionnaire.



                                                                        

Avant tout, sauver sa peau, son âme. 


                                       

                                                Au cœur d’une enfance heureuse et chavirée. En errances SAUVEES.

En voyages………………


                                Mais où est A……….

                                                                        Anna ?

C. MARIN, 19/07/2010, écrit issu du film "TOURNEE", 2010, de Mathieu Almarich, qui s'ensuit de Anna.........

Grâce à Ivan Robin.

16 novembre 2009

GOODPLANET.ORG

Travailler moins pour consommer moins
Par Olivier Milhomme, 
http://www.goodplanet.org/

Je ne parlerai pas de l’empreinte écologique du travail en termes de mode de transports entre le  domicile et le lieu de travail, ou de comportement au bureau car le plus important n’est peut-être pas là, écologiquement parlant.
La productivité du travail n’a cessé d’augmenter, c’est-à-dire qu’un individu produit davantage en une heure aujourd’hui qu’il y a 50 ans mais ces gains de productivité n’ont pas été utilisés pour travailler moins mais pour posséder davantage et consommer toujours plus. C’est ainsi que dans les pays développés un ménage travaille deux fois plus aujourd’hui que dans les années 1950. Là où un seul salaire –de l’ouvrier au cadre, du fonctionnaire à l’artisan– permettait de faire vivre une famille, il faut désormais deux salaires à plein temps. Drôle de progrès qui consiste à perdre sa vie à la gagner. Le véritable progrès eut été que dans un ménage chacun est le choix de travailler à mi-temps. S’il n’en a pas été ainsi c’est que nous sommes passés d’une société où la demande dépassait l’offre à une société où l’offre dépasse la demande. Dans les pays développés, il est devenu facile de produire mais de plus en plus difficile de vendre ce qui est produit en trop grande quantité. La publicité s’est chargée d’inventer de nouveaux besoins afin d’alimenter et de stimuler notre frénésie de consommation. Nos maisons sont pleines d’objets inutiles ou sous utilisés. Mais comme elles sont de plus en plus grandes, ça ne se voit pas trop. L’industrie a inventé le jetable et le non durable pour que les uns et les autres nous n’arrêtions surtout pas d’acheter et de consommer. Dans de nombreux pays riches, les pouvoirs publics encouragent même les heures supplémentaires. Travailler plus pour consommer plus, en quelque sorte, puisque ce revenu supplémentaire est utilisé pour participer à la compétition générale, celle de posséder une voiture plus grosse que celle de son voisin, ou de changer de sac à main de marque de luxe tous les trois mois… et non à améliorer le sort injuste des plus pauvres que soi. Celles et ceux qui souhaitent réduire une empreinte écologique qu’ils jugent trop élevée cherchent à posséder moins d’objets, à vivre dans des maisons plus petites et à partir en vacances sans aller systématiquement à l’autre bout de la planète. Bref, ils réduisent leur niveau de consommation. Moins de consommation, c’est aussi, à l’avenir, moins de travail. Pour les autres et pour soi. Travailler moins pour consommer moins en quelque sorte. Mais c’est là que le bat blesse, nos économies et plus largement nos sociétés occidentales ne sont pas organisées pour travailler, produire et consommer moins. Elles semblent combattre toute tentative de sobriété heureuse ou de ralentissement général de l’activité humaine. Et si on essayait quand même de faire une pause et d’en profiter pour réfléchir ensemble à ce que nous attendons de nos activités rémunérées, de nos métiers et de nos rôles d’agent économique ?Car il est une chose qui n’a pas progressé de la même manière que notre niveau de vie, c’est notre niveau de satisfaction, celle que nous retirons de l’existence et des liens sociaux. Ce « niveau », selon différentes études, stagne depuis 50 ans dans les pays développés, et des pays beaucoup moins riches (matériellement) affichent un « bonheur national brut » plus robuste que le nôtre.

Olivier Milhomme



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16 novembre 2009

"L’Enfer", film de Henri-Georges Clouzot, (production 2009)

"L’Enfer", film de Henri-Georges Clouzot, (production 2009)
Avec Romy Schneider, Serges Reggiani.
Oeuvre inachevée d'Henri-Georges Clouzot (1964), dans laquelle un homme sombre dans la folie par jalousie. Ce documentaire en forme de reconstitution de ce que furent la préparation et le tournage d'un film tourna réellement à l'enfer pour Clouzot, emporté par sa démesure dans une folie, une perdition.
Ici est montrée toute l’exigence du réalisateur Henri-Georges Clouzot dans la direction de ses acteurs, son ingéniosité remarquable pour construire des plans, des séquences avec toute la minutie d’un travailleur d’orfèvrerie. Ce film nous offre des essais techniques délirants, des recherches et mises en scènes artistiques des plus loufoques, recherchées, et stupéfiantes.
« Il faut aller jusqu’au bout de ses folies et les assumer ».
« L’essentiel est de tourner, tourner encore quelques images », et en effet ce qui nous reste en mémoire ce sont toujours les images.
« Même si on va droit dans le mur, il faut poursuivre ». Ne jamais abandonner la tâche, continuer d’avancer.
L’imaginaire débordant de Clouzot, tantôt sûr de ses plans, tantôt happé par l’angoisse de l’angle de vue à choisir, nous montre toute la difficulté du travail de l’artiste en recherche qui questionne et convoque inlassablement son monde aux fins de ses projets.

Claire MARIN

16 novembre 2009

Les Herbes Folles, (production 2009), d'Alain Resnais

"Les Herbes Folles", dernier film d'Alain Resnais. Une superbe comédie sentimentale très drôle, avec des personnages assez déjantés. Ce film, très bien rythmé,  est le portrait d'un homme qui ne se sent combler entièrement par aucune femme. Il va poursuivre sa quête insatiable et effrénée auprès de chacune d’elle : sa femme, sa maîtresse, des inconnues...,en piochant en chacune des bouts de tendresse, de rêves, de sexualité, de fantasmes, de sensualité et de douceur espérée.  André Dussolier incarne à merveille cet homme fou des femmes parce qu’aucune ne lui donne vraiment assez. Les personnages féminins sont très justes dans leur prises avec leur monde personnel, leur indépendance effrontée, toujours en fuite, insaisissable, en course folle, en échappée permanente, s’exportant hors de l’homme. Le scénario est assez loufoque et original, on rit beaucoup. Les acteurs (André Dussolier, Anne Consigny, Sabine Azéma) sont excellents, ainsi que la voix off d'Edouard Baer. Il y a aussi Mathieu Amlarich qui intervient en rôle secondaire.
On est touché par André Dussolier quand il dit, en parlant de sa maîtresse « Quand je pense à toi, je ne pense à rien, tu ne me laisses jamais l’esprit tranquille alors quand je pense à toi, je dis que je ne pense à rien. ».
« Lire, écrire, rêver n’a jamais tué personne, au contraire, çà aide à vivre », voix off d’Edouard Baer.

Claire MARIN

16 novembre 2009

16 novembre 2009


16 novembre 2009
Regard sur nos jours.


On nous fait croire à grand coup de matraquage médiatique que les alternatives se résument à deux ou trois choix très marqués... travailler et être heureux au sein d'une société qui nous protège de tout et tous (c'est le message) ; ou être en marge de cette société et se trouver relégué au rang de marginal. Mais ne pourrions nous pas trouver une alternative qui rende le sourire au plus grand nombre au lieu de continuer à alimenter un système favorable à une caste de plus en plus hermétique ?

Notre civilisation se lance tête baissée, à grande vitesse. La plus part d’entre nous est prise dans  un tourbillon quotidien qui lui fait oublier ses désirs profonds, sa réalité corporelle (je pense ici à toutes les situations de travail, de déplacement, où l’homme ne tient plus compte de son dos, de son maintien et se tord dans tous les sens malgré lui, au bureau, dans le métro, pour se plier aux impératifs sociaux et finir le soir abattu entre les mains d’un kiné !). Toujours dans cette avidité effrénée d’avoir toujours plus, dans cette course permanente et insensée contre la montre. Après quoi courrons-nous sans cesse ? Gandhi n’avait-il pas dit : « vis comme si c’était le dernier jour de ta vie et apprends comme si tu devais vivre toujours ». Qu’avons-nous fait de nos rêves d’enfant ? Ne nous sommes pas laissés pervertir et corrompre par une machine sociale envieuse de pouvoir ?
A quoi cela sert-il de vouloir gagner le monde ?
Pourquoi ne pas tendre vers un autre modèle social ?

L’essai, en France, de personnes qui fonctionnaient selon un principe : le SEL (système d'échange de service) : je te donne les tomates de mon potage et comme tu sais coiffer tu me coupes les chevaux (par exemple). C'est une belle idée de penser à fonctionner sur un autre mode de société.

Nombre de gens en France choisissent de vivre autrement, hors de l’unique loi marchande te rentable. Non ils ne sont pas nécessairement ni malades, ni marginaux, ils ont simplement posé un choix différent, ils ont pris un chemin singulier.

J’aime cette phrase de Boris Vian : « L’homme perd sa vie à vouloir la gagner ».

Claire MARIN

29 juillet 2009

Bergson : "Penser en homme d'action, et agir

Bergson : "Penser en homme d'action, et agir en homme de pensée".

20 juillet 2009

C'est vrai, comme dit la chanson, "On est

C'est vrai, comme dit la chanson, "On est riche que de ses amis".

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PLUS CA VA, PLUS C'EST CLAIR
  • par Claire MARIN. Littérature et poésie. Pensées. Réflexions. Journal intime. Quand les mots et le texte font oeuvre de vérité, d'évidence révélée. Quand l'ombre diffuse s'écarte pour laisser place à la lumière.
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