FREMDHEIT VERTRAUT(ETRANGE RENCONTRE)
FREMDHEIT VERTRAUT
(expression allemande signifiant en français : ETRANGE RENCONTRE)
Ecrit issu d’une rencontre inattendue
Selon Freud, l’inquiétante étrangeté, le sentiment du déjà vu, le bizarre.
AUX PASSAGES
…..Rheilac, Brady
De portes bleues
……………………………………………en portes bleues
Quel code, quel numéro ?
Paris, Tokyo, Londres, New-York, Amsterdam,
Berlin, Zurich………………….Singapour
Partout, toujours, séparés et ensemble à la fois.
DES PORTES Saint-Martin, Saint-Denis et tutti quanti
DES HALLES
DES RUES ET DES FAUX-BOURGS
« Le bizarre, quel bazar, Baltazar
Et que çà tourne, virevolte et danse, autour ….
Avec tous mes remerciments à :
L’ensemble de ma famille, mes amis, pour leur soutien et qui m’ont donné l’élan, le courage de poursuivre dans des périodes de doutes et questionnement……
Nous avons ensemble su faire face et dépasser certains points de confrontations, et nous avançons.
SAVS, Fondation Gustave Beauvois
SNC, et Monsieur De la Rochefoucault
Allociné
Unifrance
L’AFP
L’ensemble des Ministères ainsi que la Ville de Paris qui ont contribué à promouvoir ce projet.
La musique, et Chopin au showping
Tous à bord, babord, tribord, çà bascule comme en bateau,
A tous les « malades » de stylos, de piano, de roller, de tricot, de foot, de jeu, d’intrigues
The patient's disease is welcome winner
Merci à Molière et à ses assiettes de Comédie Française, sans lesquelles je n’aurai jamais avalé une miette d’écriture.
Molière qui fredonnait déjà dans une enfance curieuse, « il est plus facile de faire pleurer les gens que de les faire rire »
Ce à quoi je répondais à mon assiette de petits princes en miettes : je n’avale pas grand chose pour rire à gorge déployer.
Tout de même ils ont pu tous hurler, claquer les portes, m’enfermer dans ma chambre,
Malgré tout je sais qu’ils en ont ri
Et c’est la l’Essentiel.
Trop de clowns autour de ses
tables
… rondes ? ? ? ? ? ? ? ? ?
Pas toutes.
Merci
……………..Pianissimo, pour les voisins.
Sinon jouez au sourd muet, aux aveugles ou mettez des boules Quilles………
Où aller courir pour une grande plonger dans l’eau, à défaut sous la douche !
Qu’importe, tous sur l’Eau
Allô ?
Sans Ô.
A vos yeux ouverts. »
C.M
« Comment écrire sur le handicap, quand il s'agit d'une expérience qui vous restera nécessairement et définitivement étrangère, du moins je l'espère. »
M.F
« Certes cela m'est étranger, mais le diagnostic de la médecine française a été posée sur moi dans cette case "travailleur handicapée", avec dossier à la MDPH.
Hélas, les lois le droit et la médecine, trop de règles qui déroutent...
Aussi, la réponse est dans votre question : le handicap et l'étrange sont deux entités qui posent un problème d'intégration et de compréhension dans le tissu social, la mape monde humaine.
Mais rien de nouveau, à ce compte là, chacun a ses mots et ses maux, tout est problème de langage et de compréhension. Comme pour Claudel dans sa pièce de théâtre Le Malentendu. »
J’aime cette phrase de Mathieu Almarich dans le film "Les Herbes Folles", : "l'Art n'a jamais tué personne au contraire çà aide à vivre". Donc écrire c'est aussi vivre, tout comme danser, marcher... L'essentiel est d'être vivant, créateur à sa façon, sans violence surtout.
Et je prie pour que tous ces mots que je vous adresse ne soient pas qu'écriture mais raison de vivre. »
Prenons pour exemple «la bipolarité » (autrefois appelée magnaco-dépression), diagnostiquée comme un trouble psychique de l’humeur, celui-ci n’est-il pas le lot de chacun. ? L’humeur, qui étymologiquement vient de « humus », en latin , la Terre, l’odeur de l’herbe, le sol humain, la racine de l’Etre, comme celle de l’arbre.
Est-ce maladie une rose qui a des ronces ou est-ce fleur à part, différente ?
Chacun n’a-t-il pas ses habitudes, l’humain n’a- t-il pas le droit de choisir sa vie, son mode d’Etre.
Quand A. me dit ceci : "Je resterai à ton écoute et présente, C., mais je ne te caresserai jamais « dans le sens du poil ». Sinon tu ne guériras jamais.".
La question me vient :est-ce violence? Est-ce raison ? Est-ce tendresse?
CM
« Terribles propos d’amour ! ! ! ! » M.F
« Non pas terrible mais un peu singulier, c'est vrai, c'est elle. » On ne change jamais l’autre, on le prend tel qu’il ou elle est, à chacun je crois de trouver la juste distance et c’est là le point plus difficile à trouver, la juste place, le ton de voie ni trop fort ni trop faible. Comme en piano, il faut trouver un accord entre les notes, pour faire de nous une musique harmonieuse sur laquelle pourront danser nos pas. »C.M
« Et votre éditeur, MlleC. », SAVS
« Au bouquin fleuri… », SAVS
« Au bouc ? ………hein ? Un ou Deux……… »C.M
« Qui fleurit », SAVS
« Qui ? ? ? ? »
Et quand les acteurs voguent à Cannes,
Les enfants jouent à la Marelle
Et dansent dans les vitrines de leurs Designer de Top en Vogue,
Sur les ballons d’Air France,
D’où s’échappe le vent de rêve volant.